Prié de plier bagage en Algérie, KFC contourne les appels au boycott
Fermé seulement 48 heures après son ouverture, le géant américain de la restauration rapide, accusé de soutenir Israël, a rouvert ses portes à Alger sans afficher sa célèbre enseigne.
![Photo d’illustration de la chaîne de restauration Kentucky Fried Chicken (KFC). © NurPhoto via AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/04/19/jad20240419-kfc-algerie.jpg)
Photo d’illustration de la chaîne de restauration Kentucky Fried Chicken (KFC). © NurPhoto via AFP
Première chaîne internationale de restauration rapide à poser ses valises en Algérie depuis Quick, qui s’y était implanté entre 2007 et 2011, KFC est déjà sous le feu des critiques. À peine inauguré, le 14 avril, le premier restaurant du spécialiste du poulet frit, pris en grippe par de nombreux activistes, a été contraint de fermer ses portes seulement 48 heures après son ouverture.
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