Cabral Libii : « Le fédéralisme n’est pas un concept dangereux au Cameroun »

Alors que l’élection présidentielle de 2025 au Cameroun se rapproche, Cabral Libii poursuit son combat politique. Favorable à une transition politique post-Paul Biya, l’opposant croit aussi en un fédéralisme apte à construire, enfin, un véritable État camerounais.

Cabral Libii, le président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale, à Paris, le 28 février 2022. © Bruno Lévy pour JA

Cabral Libii, le président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale, à Paris, le 28 février 2022. © Bruno Lévy pour JA

YVES-PLUMEY-BOBO_2024

Publié le 30 avril 2024 Lecture : 7 minutes.

Chahuté par une opposition au sein de son propre parti, le Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN), Cabral Libii ne s’en laisse pas compter. Arrivé troisième lors de la présidentielle de 2018 derrière Paul Biya et Maurice Kamto, l’opposant continue depuis de travailler à l’implantation de ses troupes à travers le Cameroun. Objectif : la prochaine bataille pour la magistrature

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