Dépenses militaires : flambée en Algérie, baisse au Maroc
Le dernier rapport de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) confirme une explosion sans précédent des dépenses militaires côté algérien, tandis que Rabat tend à réduire légèrement ses achats.
![Le président algérien Abdelmadjid Tebboune avec le chef d’état-major de l’APN, Saïd Chengriha, à Alger, le 5 juillet 2022, lors de la célébration du soixantième anniversaire de l’indépendance. © Présidence algérienne / Anadolu Agency via AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.9314x0.1142/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/04/24/jad20240424-mmo-algerie-defense-armement.jpg)
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune avec le chef d’état-major de l’APN, Saïd Chengriha, à Alger, le 5 juillet 2022, lors de la célébration du soixantième anniversaire de l’indépendance. © Présidence algérienne / Anadolu Agency via AFP
18,3 milliards de dollars : c’est le montant record dépensé par Alger en 2023 en armement et équipements militaires, selon le dernier rapport du très suivi Stockholm International Peace Research Institute (Sipri), soit une augmentation de 76 % par rapport à 2022.
« Il s’agit du niveau de dépenses le plus élevé jamais enregistré par l’Algérie et de la plus forte augmentation annuelle de ses
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