Stanis Bujakera Tshiamala : « Rester professionnel, peu importe le prix à payer »
Le correspondant de Jeune Afrique en RDC, remis en liberté le 19 mars après six mois derrière les barreaux à la prison de Makala, a retrouvé ses collègues à la rédaction de JA.
Il est des moments de la vie d’une rédaction qui comptent plus que d’autres. Le 19 mars dernier, la remise en liberté de notre confrère et ami Stanis Bujakera Tshiamala, après plus de six mois d’incarcération, a été de ceux-là. Ce mardi 23 avril en a été un autre : Stanis, après avoir enfin pu retrouver sa famille, a été accueilli par ses collègues au siège de Jeune Afrique.
Il a pu participer à la conférence de rédaction. Nous raconter, aussi, sa détention, sa remise en liberté au terme de multiples rebondissements. Et nous dire enfin, à toutes et tous, son envie de reprendre au plus vite la plume pour faire son travail. « Il ne faut pas avoir peur, a-t-il notamment déclaré. Il faut continuer à rester professionnels. Parce que c’est le professionnalisme qui est et restera notre seul rempart. »
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