Quand Guy Robert Lukama offre à la Gécamines une campagne de lobbying aux États-Unis
Pour compter dans le commerce des minerais essentiels et participer à la révolution de l’énergie verte, le géant minier congolais veut tourner la page des scandales et de la mauvaise gestion.
![Une vue aérienne des bâtiments de la Gécamines (à gauche) et de la Société pour le traitement du terril de Lubumbashi (à droite), le 19 août 2005. © REUTERS](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4491x0.3426/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/04/25/jad20240425-eco-rdc-gecamines.jpg)
Une vue aérienne des bâtiments de la Gécamines (à gauche) et de la Société pour le traitement du terril de Lubumbashi (à droite), le 19 août 2005. © REUTERS
La Gécamines est de retour à Washington. Par l’intermédiaire du cabinet de relations publiques Mercury, la Générale des Carrières et des Mines veut convaincre les États-Unis qu’elle pourra leur garantir des chaînes d’approvisionnement fiables pour les minerais essentiels, notamment le cuivre et le cobalt.
Pour ce faire, le choix de ce cabinet de lobbying américain de premier plan est crucial pour
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