Biens mal acquis : ce que la justice française réserve à Pascaline Bongo Ondimba
Relaxée le 22 avril par le tribunal judiciaire de Paris dans l’affaire « Egis Routes », la fille et ex-directrice de cabinet d’Omar Bongo Ondimba est visée en France par une affaire d’une tout autre ampleur : le dossier des « biens mal acquis ».
![Pascaline Bongo Ondimba à Paris, lors de son procès en janvier 2024. © DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5361x0.3879/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/04/26/jad20240426-ass-bongo-proces-pascalinebongo.jpg)
Pascaline Bongo Ondimba à Paris, lors de son procès en janvier 2024. © DR
Devant une salle comble, et en son absence, Teodoro Nguema Obiang Mangue, vice-président de la Guinée équatoriale, était condamné le 27 octobre 2017 à trois ans de prison avec sursis et 30 millions d’euros d’amende. Sept ans plus tard, et seize ans après le dépôt d’une plainte par Transparency International contre Omar Bongo, Denis Sassou Nguesso et Teodoro Obiang Nguema, seul le volet
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