Au Mali et au Burkina Faso, des élections reportées aux calendes sahéliennes
2024 devait être l’année des scrutins présidentiels dans les deux pays. Mais ni la junte d’Assimi Goïta ni celle d’Ibrahim Traoré ne semblent vouloir mettre un terme à leurs régimes de transition.
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Damien Glez
Dessinateur et éditorialiste franco-burkinabè.
Publié le 1 mai 2024 Lecture : 2 minutes.
Après quelques circonvolutions calendaires consécutives au premier coup d’État du colonel Assimi Goïta, la prolongation de la transition malienne avait été fixée « à 24 mois, à compter du 26 mars 2022 ». Au Burkina Faso, quelques semaines après la prise de pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré, la charte de transition adoptée le 14 octobre 2022 fixait la fin de la transition au 1er juillet 2024. La
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