Au Maroc, le difficile retour des anciens jihadistes et de leur famille

Ex-combattant en Syrie, Zoubir Hasnaoui est bloqué en Turquie depuis cinq ans, le Maroc refusant de laisser entrer ses trois filles, toutes nées en exil. Un cas qui n’a rien d’isolé, et qui ne trouve pour l’heure pas de solution.

À Idlib, dans le nord de la Syrie, des réfugiés espèrent le maintien de l’ouverture du poste-frontière de Bab al-Hawa permettant d’acheminer l’aide humanitaire depuis la Turquie, le 30 juin 2021. © Izzeddin Kasim / Anadolu Agency via AFP

À Idlib, dans le nord de la Syrie, des réfugiés espèrent le maintien de l’ouverture du poste-frontière de Bab al-Hawa permettant d’acheminer l’aide humanitaire depuis la Turquie, le 30 juin 2021. © Izzeddin Kasim / Anadolu Agency via AFP

Publié le 5 mai 2024 Lecture : 5 minutes.

Dans les tumultes de la guerre en Syrie, des dizaines de milliers de personnes ont rejoint les rangs de l’État islamique ou d’autres groupes jihadistes. Embrigadés dans une cause qui les dépassait, beaucoup tentent aujourd’hui de rebâtir leurs vies brisées. C’est le cas de Zoubir Hasnaoui, un Marocain de 37 ans. Son histoire a pris une tournure tragique au Levant. Entré en Syrie via la Turquie en

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