Entre Ibrahim Traoré et Alassane Ouattara, le « cas Soro » et la crainte du complot

Depuis l’arrestation, en janvier, à Abidjan, d’un ex-rebelle des Forces nouvelles, les services de renseignement ivoiriens affirment avoir découvert un réseau d’une cinquantaine de jeunes recrutés par des proches de Guillaume Soro pour mener des opérations de déstabilisation de la Côte d’Ivoire depuis le Burkina Faso. Révélations.

Le président de la transition burkinabè Ibrahim Traoré, l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne Guillaume Soro et le chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara. © MONTAGE JA : PRESIDENCE DU FASO ; LIONEL BONAVENTURE/AFP ; SIA KAMBOU/AFP

Le président de la transition burkinabè Ibrahim Traoré, l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne Guillaume Soro et le chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara. © MONTAGE JA : PRESIDENCE DU FASO ; LIONEL BONAVENTURE/AFP ; SIA KAMBOU/AFP

BENJAMIN-ROGER-2024

Publié le 3 mai 2024 Lecture : 4 minutes.

C’est une nouvelle histoire de barbouzerie, dont l’histoire étroitement liée du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire est jalonnée. Elle mêle la junte d’Ibrahim Traoré, les services de renseignement ivoiriens, l’entourage le plus proche d’Alassane Ouattara et celui qui, malgré les récentes tentatives de décrispation, demeure l’ennemi le plus redouté des autorités ivoiriennes : Guillaume Soro.

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Le président ivoirien, Alassane Ouattara (à droite), serre la main du président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro (à gauche), lors de la cérémonie des vœux du Nouvel An au Palais présidentiel d’Abidjan, le 4 janvier 2018. © SIA KAMBOU/AFP

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