« Technologies de rupture » : les start-up africaines peinent encore à rattraper leur retard

Les entreprises africaines qui utilisent des technologies innovantes réussissent mieux que les autres sur le continent, affirme une étude de l’IFC. Elles obtiennent également plus facilement des financements, sans pour autant atteindre les volumes observés sur le marché sud-américain. Décryptage en infographies.

Dans les locaux de al-Gameya, une start up Fintech égyptienne, en 2021 (illustration). © Photo by Khaled DESOUKI / AFP

Dans les locaux de al-Gameya, une start up Fintech égyptienne, en 2021 (illustration). © Photo by Khaled DESOUKI / AFP

MATTHIEU-MILLECAMP_2024 maylys dudouet portrait

Publié le 9 mai 2024 Lecture : 4 minutes.

Le verre à moitié plein ? Les start-up africaines qui ont recours à des technologies de rupture sont celles qui parviennent le mieux à lever des fonds pour mettre en œuvre leurs stratégies de développement. Le verre à moitié vide ? Les entreprises africaines sont moins promptes à recourir à ces technologies « disruptives » que leurs homologues occidentales ou sud-américaines. Et, lorsqu’elles

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