Au Burkina, Ibrahim Traoré a « ses comités de vigilance »
Acquis à la cause de la junte au pouvoir, les redoutés Wayiyans sont bien décidés à protéger le capitaine IB de toute tentative de déstabilisation.
![À la sortie de la rencontre entre les comités de veille citoyenne, communément appelés « les Wayiyans », et le capitaine Ibrahim Traoré, le 17 février 2024, au Palais des sports de Ouaga 2000. © Faso7](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/05/10/jad20240510-ass-burkina-les-wayiyans-ib.jpg)
À la sortie de la rencontre entre les comités de veille citoyenne, communément appelés « les Wayiyans », et le capitaine Ibrahim Traoré, le 17 février 2024, au Palais des sports de Ouaga 2000. © Faso7
« S’ils n’étaient pas là, peut-être que nous serions dans une autre transition. » Eux, ce sont les Wayiyans, des groupes d’individus plus ou moins structurés qui ont pris fait et cause pour le capitaine Ibrahim Traoré (dit IB), à la tête du Burkina Faso depuis octobre 2022. Et l’homme qui, interrogé par Jeune Afrique, reconnaît leur importance est lui-même un proche collaborateur du président de
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