Novembre 1975 : les derniers jours du Sahara espagnol
Fin 1975, après la Marche verte initiée par Hassan II, les derniers Espagnols quittaient le Sahara, colonisé et baptisé Rio de Oro par leurs soins. Aujourd’hui regroupés au sein d’une association qui leur permet de partager photos et souvenirs, les derniers militaires espagnols racontent ces ultimes journées.
![Un conscrit espagnol devant le wharf de Laayoune, photographié entre 1973 et 1975 © Alfons Duch Isern](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.1455x0.4941/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/05/23/jad20240523-mmo-maroc-sahara-espagnol-photo-1.jpg)
Un conscrit espagnol devant le wharf de Laayoune, photographié entre 1973 et 1975 © Alfons Duch Isern
À l’automne 1975, la moitié de l’Afrique était décolonisée. Pourtant l’Espagne s’accrochait encore à sa dernière province outre-mer : le Sahara espagnol. Coincé entre le Maroc et la Mauritanie, ce bout de désert plat représentait la dernière relique d’un autrefois vaste empire, et avait acquis une importance stratégique dans les années 1950, après la découverte de réserves extraordinaires de
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- À la demande d’Alassane Ouattara, João Lourenço nouveau médiateur pour le Sahel ?
- Est de la RDC : Corneille Nangaa, l’histoire d’un apprenti rebelle
- Au Cameroun, Paul Biya songe-t-il toujours à autoriser la double nationalité ?
- Roland Dumas et l’Afrique : des plaidoiries au scandale
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR