Au Mali, l’opposition durcit le ton face à une transition qui s’éternise
Les appels à l’organisation d’élections se multiplient au sein de la classe politique malienne, qui craint qu’Assimi Goïta ne se maintienne au pouvoir, comme l’y invitent les conclusions du récent dialogue intermalien.
![Assimi Goïta est le président de la transition malienne depuis le 24 mai 2021. © Présidence du Mali](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/05/23/jad20240523-ass-mali-opposition-assimigoita.jpg)
Assimi Goïta est le président de la transition malienne depuis le 24 mai 2021. © Présidence du Mali
Depuis l’avènement de la transition, en 2020, la classe politique s’est longtemps tenue silencieuse, dans l’attente d’une feuille de route censée mener aux élections. Alors qu’ont défilé les mois et les « chronogrammes », toutes les échéances électorales envisagées ont successivement été repoussées. Recommandations des Assises nationales de la refondation (ANR), adoption d’une nouvelle
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