![Mont Kamba, en République du Congo. © Antonin Borgeaud](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1920,height=1080,fit=cover,gravity=0.8031x0.3372/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/05/29/jad20240529-mini-serie-afrique-nucleaire-russe-ep1.jpg)
Nucléaire russe : pourquoi l’atome africain n’est pas pour demain
![Rencontre entre Vladimir Poutine, le président russe, et son homologue camerounais, Paul Biya, lors du deuxième sommet Russie-Afrique, à Saint-Pétersbourg, le 28 juillet 2023. © Alexander Ryumin / TASS / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop,gravity=0.0097x0.3510/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/05/29/jad20240529-mini-serie-afrique-nucleaire-russe-intro.jpg)
L’énergie nucléaire en Afrique, un bluff russe ?
De l’Éthiopie au Maroc, en passant par le Burkina Faso, le Mali ou encore l’Ouganda, plusieurs projets nucléaires ont été annoncés récemment. Leur premier point commun : ils sont tous le fruit d’un partenariat avec la Russie. L’autre point commun : aucun de ces projets n’a connu la moindre avancée. Les États du continent ont-ils les moyens financiers et humains pour réaliser de tels projets ? Que nous disent l’expérience de l’Afrique du Sud, le seul pays à disposer de réacteurs opérationnels, et de l’Égypte, où une centrale est en construction grâce à un partenariat avec le russe Rosatom ? Plongée au cœur du réacteur nucléaire africain.
« Nous avons besoin, en tout cas si c’est possible, d’implanter une centrale nucléaire pour produire de l’électricité. » Durant le dernier sommet Russie-Afrique, organisé à Saint-Pétersbourg les 27 et 28 juillet 2023, Ibrahim Traoré ne semble pas à court d’arguments pour plaider, face à Vladimir Poutine, en faveur de l’atome comme moyen de combler le « besoin crucial en énergie » du Burkina Faso,
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![Rencontre entre Vladimir Poutine, le président russe, et son homologue camerounais, Paul Biya, lors du deuxième sommet Russie-Afrique, à Saint-Pétersbourg, le 28 juillet 2023. © Alexander Ryumin / TASS / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop,gravity=0.0097x0.3510/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/05/29/jad20240529-mini-serie-afrique-nucleaire-russe-intro.jpg)
L’énergie nucléaire en Afrique, un bluff russe ?
De l’Éthiopie au Maroc, en passant par le Burkina Faso, le Mali ou encore l’Ouganda, plusieurs projets nucléaires ont été annoncés récemment. Leur premier point commun : ils sont tous le fruit d’un partenariat avec la Russie. L’autre point commun : aucun de ces projets n’a connu la moindre avancée. Les États du continent ont-ils les moyens financiers et humains pour réaliser de tels projets ? Que nous disent l’expérience de l’Afrique du Sud, le seul pays à disposer de réacteurs opérationnels, et de l’Égypte, où une centrale est en construction grâce à un partenariat avec le russe Rosatom ? Plongée au cœur du réacteur nucléaire africain.
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