Présidence de la BAD : la succession d’Adesina objet de tous les pronostics à Nairobi

L’élection du prochain président de la Banque africaine de développement n’aura lieu qu’en mai 2025. Pourtant, le lobbying a déjà commencé. Coulisses.  

Akinwumi Adesina, président de la BAD, s’exprimant lors des assemblées annuelles de l’institution, à Nairobi, le 29 mai 2024. © Photo by Simon Maina / AFP

Akinwumi Adesina, président de la BAD, s’exprimant lors des assemblées annuelles de l’institution, à Nairobi, le 29 mai 2024. © Photo by Simon Maina / AFP

THAIS-BROUCK_2024

Publié le 30 mai 2024 Lecture : 3 minutes.

Le siège de la Banque africaine de développement (BAD) situé dans la commune du Plateau, à Abidjan. Le 1er novembre 2019. © ISSOUF SANOGO/AFP
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BAD : l’année de tous les enjeux

À moins d’un an de l’élection du nouveau président ou de la nouvelle présidente qui remplacera le Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), Jeune Afrique décrypte et analyse la feuille de route de l’institution pour les quatre années à venir. Stratégies, tractations, portraits, coulisses… Zoom sur les grands défis de ce futur rendez-vous.

Sommaire

Dans les couloirs du Kenyatta International Conference Centre, à Nairobi, les paris sont ouverts. Faut-il que le futur président de la BAD s’approprie l’héritage d’Akinwumi Adesina ou doit-on privilégier la rupture ? Un candidat issu de l’Afrique de l’Ouest aurait-il ses chances malgré la règle tacite d’alternance géographique ? Qui aurait la carrure pour occuper un tel poste ?

Le mandat du

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