Fonds bloqués des compagnies aériennes : le Nigeria n’est plus mauvais élève
Jusqu’à 850 millions de dollars étaient retenus par Abuja. L’Organisation internationale des transporteurs aériens (Iata) s’est félicitée de la décision lors de son assemblée annuelle à Dubaï. Mais l’Algérie, l’Éthiopie ou encore la zone Cemac restent pointés du doigt.
Emirates (ici un Airbus A380 opéré par la compagnie émiratie) a annoncé son retour à Lagos en octobre, à la suite de ce déblocage de fonds. © Urbanandsport / NurPhoto / NurPhoto via AFP.
L’Algérie, la zone Cemac, l’Éthiopie… Chaque année, lors de l’assemblée générale annuelle de l’Organisation internationale des transporteurs aériens (Iata), certains pays sont pointés du doigt : ce sont ceux depuis lesquels les compagnies aériennes ne parviennent pas à rapatrier leurs revenus. C’est « littéralement la dernière chose que souhaite un transporteur », regrette Kamil Al Awadhi,
