Afrique du Sud : et si Cyril Ramaphosa parvenait à sauver sa tête ?
Le Congrès national africain (ANC) perd la majorité absolue pour la première fois de son histoire, mais le président devrait briguer un second mandat.
![Le président sud-africain Cyril Ramaphosa au stade Athlone, près du Cap, le 11 février 2024. © RODGER BOSCH / AFP.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4987x0.2898/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/02/21/afp__20240211__34j876h__v1__highres__fblfriendlyrsapse-scaled.jpg)
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa au stade Athlone, près du Cap, le 11 février 2024. © RODGER BOSCH / AFP.
Un capitaine se doit de couler avec son navire. Cyril Ramaphosa doit donc assumer d’avoir mené le Congrès national africain (ANC) vers le pire résultat de son histoire : un score de 40% des voix , synonyme d’une perte inédite de la majorité absolue au Parlement, à l’issue des élections du 29 mai. « On siège dans une organisation pour les bons et les mauvais moments. Nous traversons actuellement de
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