Cacao, blé, café… Comment l’explosion des cours pousse l’Afrique à s’adapter

Prix du robusta multiplié par trois en deux ans, la tonne de cacao à plus de 10 000 dollars… Au-delà des challenges immédiats qu’elle pose sur le continent, l’envolée des prix des matières premières pourra-t-elle être source d’opportunités pour l’industrie agroalimentaire ?

L’Afrique importe 80 % de son blé, notamment de l’Ukraine et de la Russie. © REUTERS/Louafi Larbi.

L’Afrique importe 80 % de son blé, notamment de l’Ukraine et de la Russie. © REUTERS/Louafi Larbi.

YARA-RIZK_2024

Publié le 1 juillet 2024 Lecture : 9 minutes.

Hausse des cours du blé à la suite de la guerre en Ukraine, de ceux du café et du cacao à cause notamment des conséquences du dérèglement climatique… Partout, les cours des matières premières s’envolent. « La production ne parvient absolument plus à suivre la demande. Dans ce contexte de marché tendu, l’Afrique se trouve dans une position particulièrement délicate, entre posture de victime et de

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