Au Maroc, une nouvelle affaire impliquant des Koweïtiens révèle les méfaits du tourisme sexuel

Sept étrangers de nationalité koweïtienne, impliqués dans une sombre affaire de tourisme sexuel, ont pu fuir le Maroc avant même leur procès. Ce n’est pas la première fois qu’un tel événement se produit. Au grand dam de l’opinion marocaine, qui dénonce certaines failles du système judiciaire.

Dans la Palmeraie, à Marrakech. © Philippe Saharoff/Photononstop via AFP

Dans la Palmeraie, à Marrakech. © Philippe Saharoff/Photononstop via AFP

Publié le 7 juin 2024 Lecture : 7 minutes.

Être étranger permet-il d’échapper plus facilement à la justice marocaine, a fortiori lorsque les faits reprochés sont liés à du tourisme sexuel ou à des violences sexistes et sexuelles ? C’est ce que pourrait laisser penser une nouvelle affaire, qui s’est produite à Marrakech, à la mi-avril, et dont Jeune Afrique a reconstitué les épisodes.

Tout commence sur un air de vacances. Huit Koweïtiens,

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