En Afrique du Sud, Jacob Zuma et son parti déjà incontournables
En à peine six mois d’existence, l’uMkhonto We Sizwe (MK) est devenu la troisième force politique d’Afrique du Sud, ainsi qu’en témoignent les résultats des élections du 29 mai.
![L’ancien président sud-africain et leader du parti uMkhonto weSizwe (MK) Jacob Zuma à son arrivée au centre national des résultats de la Commission électorale indépendante (CEI), à Midrand, le 1er juin 2024. © PHILL MAGAKOE / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4084x0.4971/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/05/jad20240605-ass-afrique-du-sud-election-zuma-mk.jpg)
L’ancien président sud-africain et leader du parti uMkhonto weSizwe (MK) Jacob Zuma à son arrivée au centre national des résultats de la Commission électorale indépendante (CEI), à Midrand, le 1er juin 2024. © PHILL MAGAKOE / AFP
C’est un Blitzkrieg politique qui a pris de court l’Afrique du Sud. La carte des élections du 29 mai donne une image de la conquête territoriale du parti de Jacob Zuma (qui n’était pas candidat), l’uMkhonto We Sizwe (MK). Le KwaZulu-Natal est tombé. Il a voté à près de 46 % pour le MK. Le parti est en mesure de diriger la province en formant une coalition. Les élections comptaient pour la
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