Entre le Gabonais Oligui Nguema et ses voisins, tout va presque bien

Reçu par le 4 juillet dernier par Sassou Nguesso, et auparavant par Biya, Déby Itno ou encore Touadéra, le général-président semble avoir gagné sa place au sein du club très fermé des chefs d’État d’Afrique centrale. Mais pas encore au sein de l’UA.

Brice Clotaire Oligui Nguema (centre) à Oyo, au Congo, avec le président congolais Denis Sassou Nguesso, le 14 mars 2024, lors de la commémoration des quinze ans du décès d’Édith Lucie Bongo Ondimba. © PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE DU GABON

Brice Clotaire Oligui Nguema (centre) à Oyo, au Congo, avec le président congolais Denis Sassou Nguesso, le 14 mars 2024, lors de la commémoration des quinze ans du décès d’Édith Lucie Bongo Ondimba. © PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE DU GABON

GEORGES-DOUGUELI_2024

Publié le 5 juillet 2024 Lecture : 6 minutes.

Justifier, rassurer, se montrer à l’écoute. Ces maîtres-mots ont guidé Brice Clotaire Oligui Nguema dans son offensive diplomatique visant à faire admettre que son coup d’État était un « coup de la liberté », selon les termes qu’il tente depuis d’imposer dans le langage courant. Ce fut compliqué que de se débarrasser de l’image peu reluisante de « général félon », celle d’un commandant de la Garde

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De g. à dr. : Mamadi Doumbouya (Guinée), Abdourahamane Tiani (Niger), Brice Clotaire Oligui Nguema (Gabon), Ibrahim Traoré (Burkina Faso) et Assimi Goïta (Mali). © MONTAGE JA : JOHN WESSELS / AFP ; DR ; Présidence de la République du Gabon ; Présidence du Faso ; Francis KoKoroKo/REUTERS

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