Pourquoi Olam au Togo subit la colère des producteurs de coton
Le leader singapourien, qui a promis de révolutionner le secteur du coton, peine à atteindre ses ambitions. De quoi frustrer les producteurs qui réclament désormais son départ.
![Le Togo veut transformer sa production de coton, supérieure à 100 000 tonnes par an. Ici Plantation de coton dans la vallée des rôniers à Poli dans le Nord Cameroun. © Ecole publique de Poli/Wiki Commons/Licence CC](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2021/05/04/champ_de_coton_la_vallee_des_roniers_a_poli_04.jpeg)
Le Togo veut transformer sa production de coton, supérieure à 100 000 tonnes par an. Ici Plantation de coton dans la vallée des rôniers à Poli dans le Nord Cameroun. © Ecole publique de Poli/Wiki Commons/Licence CC
Entre les cotonculteurs togolais et l’entreprise singapourienne Olam, actionnaire à 51 % de la Nouvelle société cotonnière du Togo (NSCT), la confiance est ébranlée. Les 11 et 12 juin à Lomé s’est tenue une réunion de négociation tripartite entre l’État, la Fédération nationale des groupements de producteurs de coton (FNGPC) et Olam qui a acté une hausse à 280 francs CFA et 300 F CFA du prix
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