En RDC, la blockchain pour en finir avec « les minerais de sang »
Cette technologie vise à certifier les minerais congolais issus de l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (ASM) afin qu’ils rejoignent les chaînes d’approvisionnement officielles.
![Mine de cobalt artisanale à Tulwizembe, dans la province du Katanga, le 25 novembre 2015. © REUTERS/Kenny Katombe](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/13/jad20240613-eco-tar-rdc-mines.jpg)
Mine de cobalt artisanale à Tulwizembe, dans la province du Katanga, le 25 novembre 2015. © REUTERS/Kenny Katombe
Le partenariat conclu en juin entre la société allemande Minespider et la congolaise Society Artisanal s’inscrit dans le cadre d’une « transition vers la transparence » voulue par l’évolution des réglementations mondiales qui se veulent plus strictes sur l’origine des produits, explique Nathan Williams, PDG de Minespider. « Chaque produit a besoin d’un passeport. Cette transition doit être menée
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