En RDC, la blockchain pour en finir avec « les minerais de sang »

Cette technologie vise à certifier les minerais congolais issus de l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (ASM) afin qu’ils rejoignent les chaînes d’approvisionnement officielles.

Mine de cobalt artisanale à Tulwizembe, dans la province du Katanga, le 25 novembre 2015. © REUTERS/Kenny Katombe

Mine de cobalt artisanale à Tulwizembe, dans la province du Katanga, le 25 novembre 2015. © REUTERS/Kenny Katombe

David Whitehouse © The Africa Report

Publié le 17 juin 2024 Lecture : 3 minutes.

Le partenariat conclu en juin entre la société allemande Minespider et la congolaise Society Artisanal s’inscrit dans le cadre d’une « transition vers la transparence » voulue par l’évolution des réglementations mondiales qui se veulent plus strictes sur l’origine des produits, explique Nathan Williams, PDG de Minespider. « Chaque produit a besoin d’un passeport. Cette transition doit être menée

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