Au Niger, « la junte n’aura aucun répit tant que Mohamed Bazoum n’est pas libéré »
Après la levée de l’immunité de l’ancien président, son entourage s’insurge et dénonce un déni de justice. Oumar Moussa, son ancien directeur de cabinet adjoint, répond à Jeune Afrique.
Ce vendredi 14 juin, la Cour d’État du Niger a levé l’immunité présidentielle dont jouissait Mohamed Bazoum. Près d’un an après la chute de l’ancien président, qui est toujours séquestré par la junte au palais présidentiel, cette décision ouvre la voie à des poursuites judiciaires et à un éventuel procès.
Si, pour l’heure, Mohamed Bazoum n’a pas été inculpé, le président déchu pourrait bientôt
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Politique
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?
- Législatives au Sénégal : Pastef donné vainqueur
- Au Bénin, arrestation de l’ancien directeur de la police
- L’Algérie doit-elle avoir peur de Marco Rubio, le nouveau secrétaire d’État améric...
- Mali : les soutiens de la junte ripostent après les propos incendiaires de Choguel...