Au Cameroun, les conditions de la détention de Marafa Hamidou Yaya se sont encore durcies
Marafa Hamidou Yaya, qui s’est exprimé dans Jeune Afrique voici deux mois, a vu se restreindre les droits de visite de ses proches. Et il n’a toujours pas obtenu l’autorisation d’aller se faire soigner à l’étranger.
![L’ancien ministre camerounais Marafa Hamidou Yaya, à la sortie du tribunal de Yaoundé, lors de la première audience de son procès, le 16 juillet 2012. © DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/17/jad20240617-ass-cameroun-marafahamidouyaya.jpg)
L’ancien ministre camerounais Marafa Hamidou Yaya, à la sortie du tribunal de Yaoundé, lors de la première audience de son procès, le 16 juillet 2012. © DR
Après avoir répondu à une interview de Jeune Afrique le 23 avril dernier depuis sa cellule, Marafa Hamidou Yaya s’attendait, après sa prise de parole, à un durcissement de ses conditions de détention au Secrétariat d’État à la défense (SED), cette garnison qui abrite à la fois le quartier général de la gendarmerie et une prison annexe pour anciens membres du gouvernement et hauts commis du Camerou
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