Au Burkina Faso, une « hécatombe » pour l’armée à Mansila
Selon des sources concordantes, l’attaque du détachement militaire de cette petite localité du nord-est du pays, le 11 juin, a coûté la vie à une centaine de soldats.
![Des soldats burkinabè patrouillent dans un village du département de Gorgadji, le 3 mars 2019. © Luc Gnago/Reuters](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/09/11/jad20231109-ass-burkina-attaque-koumbri.jpg)
Des soldats burkinabè patrouillent dans un village du département de Gorgadji, le 3 mars 2019. © Luc Gnago/Reuters
Une semaine après l’attaque du détachement de Mansila, le 11 juin, les autorités n’ont toujours pas communiqué ni fourni de bilan officiel. Et pour cause : à en croire les chiffres avancés par plusieurs sources militaires et les assaillants du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM, en arabe), au moins une centaine de soldats ont été tués dans cette localité du nord-est du
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