Niger : comment le français Orano a perdu la bataille face à la junte

Le permis d’exploitation du site d’extraction d’uranium d’Imouraren a été retiré au groupe dirigé par Nicolas Maes, depuis novembre 2023. C’est la conclusion d’un long bras de fer entre Orano et la junte au pouvoir au Niger.

Un soldat nigérien patrouillant près de la mine d’uranium d’Arlit, propriété d’Areva. Illustration. Un soldat nigérien patrouillant près de la mine d’uranium d’Arlit, propriété d’Areva.
Illustration.
© Issouf Sanogo/ AFP

Un soldat nigérien patrouillant près de la mine d’uranium d’Arlit, propriété d’Areva. Illustration. Un soldat nigérien patrouillant près de la mine d’uranium d’Arlit, propriété d’Areva. Illustration. © Issouf Sanogo/ AFP

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Publié le 20 juin 2024 Lecture : 6 minutes.

Soucieux d’accélérer ses activités au Niger après la remontée du cours de l’uranium, le groupe Orano (ex-Areva) détenu à 90% par l’État français, voit ses desseins de plus en plus contrariés. Le spécialiste du combustible nucléaire peinait à démarrer ses activités sur le site d’Imouraren, situé à 80 km de la ville d’Arlit, à proximité de laquelle il exploite déjà un autre gisement d’uranium au

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