Entre la SEEG et l’État gabonais, la tension monte sur fond d’impayés
L’ardoise de l’État vis-à-vis de la Société d’énergie et d’eau du Gabon aggrave la situation financière de l’entreprise, qui enregistre des résultats déficitaires depuis quatre ans.
![Le siège de la SEEG à Libreville, au Gabon. © Jocelyn Abila/Afrikimages Agency](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/20/jad20240620-eco-gabon-etat-seeg.jpg)
Le siège de la SEEG à Libreville, au Gabon. © Jocelyn Abila/Afrikimages Agency
Le directeur général de la SEEG, Joël Lehman Sandoungout, a révélé mi-juin dans la presse gabonaise que Libreville doit 72 milliards de francs CFA (110 millions d’euros) de factures impayées à l’entreprise. Cette somme représente 28,8 % de la totalité des impayés de la clientèle de la SEEG, dont la dette dépassait les 250 milliards de F CFA fin 2023.
Cette dette n’a cessé d’augmenter ces dernières
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