Algérie-Europe : le casse-tête du protectionnisme

Le torchon brûle entre Alger et Bruxelles. Cette dernière dénonce les mesures de restriction aux importations imposées depuis trois ans aux entreprises européennes par le gouvernement algérien. En face, l’on rétorque que l’accord commercial qui les lie a fait long feu. Un dialogue de sourds entre les deux partenaires, dont l’Algérie pourrait perdre davantage qu’elle ne gagne.

Alger et son port de commerce, le 13 mai 2024. © Frederic Speich/La Provence/MAXPPP

Alger et son port de commerce, le 13 mai 2024. © Frederic Speich/La Provence/MAXPPP

AURELIE-MBIDA2-2024

Publié le 8 juillet 2024 Lecture : 3 minutes.

Abdelmajid Tebboune se doutait-il qu’en posant un pied sur le territoire de l’Union européenne, le 14 juin dernier, à l’occasion du sommet du G7 à Borgo Egnazia, en Italie, il se rappellerait aux bons souvenirs du gendarme de Bruxelles ? Savait-il, alors qu’il partageait une accolade – très commentée – avec son homologue français, Emmanuel Macron, que l’Algérie serait destinataire, le même jour,

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