Mamadi Doumbouya jamais tu ne diffameras

En Guinée, deux membres de la Haute autorité de la communication ont été condamnés à de la prison ferme pour avoir affirmé que le chef de la junte avait donné de l’argent à des organes de presse qui se montraient critiques à son égard.

Mamadi Doumbouya, le président de la transition guinéenne, en mars 2024. © Présidence de la République de Guinée

Mamadi Doumbouya, le président de la transition guinéenne, en mars 2024. © Présidence de la République de Guinée

DIAWO-BARRY_2024

Publié le 21 juin 2024 Lecture : 2 minutes.

D’abord, la Haute autorité de la communication (HAC) a affirmé que la sécurité nationale était en jeu pour justifier la suspension de trois médias du bouquet de Canal+. Ensuite, c’est le ministre de l’Information et de la Communication, Fana Soumah, qui a retiré leur agrément à quatre médias – qui se trouvent être critiques à l’égard de la junte au pouvoir –, au motif qu’ils avaient violé leur

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