RDC : pourquoi l’opposition n’a toujours pas de porte-parole
Les adversaires de Félix Tshisekedi sont une nouvelle fois divisés sur la conduite à tenir. Mais Moïse Katumbi et son parti entendent bien faire valoir leur droit.
![Le candidat à la présidence congolaise Moise Katumbi pendant sa campagne à Butembo dans le Nord-Kivu, le 26 novembre 2023.didate Moise Katumbi visits families during his campaign in Butembo © REUTERS/Arlette Bashizi](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/21/jad20240621-ass-rdc-opposition-moisekatumbi.jpg)
Le candidat à la présidence congolaise Moise Katumbi pendant sa campagne à Butembo dans le Nord-Kivu, le 26 novembre 2023.didate Moise Katumbi visits families during his campaign in Butembo © REUTERS/Arlette Bashizi
L’affaire semblait entendue. Première force d’opposition à l’issue des élections du 20 décembre 2023, le parti Ensemble pour la République de Moïse Katumbi semblait logiquement destiné à occuper le poste de porte-parole de l’opposition en RDC. Était-ce aller trop vite en besogne ?
Rang de ministre d’État
Inscrite dans la Constitution depuis 2006, la fonction n’a jusqu’à présent jamais été occupée.
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