Comment Orano se bat pour conserver sa dernière mine d’uranium au Niger
Le groupe français, qui vient de perdre son permis d’exploitation sur le projet d’Imouraren, rencontre des difficultés avec la Somaïr dans le complexe minier d’Arlit, son ultime bras de fer face à la junte.
![La mine en plein air d’uranium de Tamgak, dans le complexe d’Arlit, au Niger, en septembre 2013. © JOE PENNEY/REUTERS.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5205x0.4647/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/26/jad20240626-conf-eco-niger-mine-orano-arlit.jpg)
La mine en plein air d’uranium de Tamgak, dans le complexe d’Arlit, au Niger, en septembre 2013. © JOE PENNEY/REUTERS.
Alors que le groupe français Orano (ex-Areva) vient de perdre le permis d’exploitation du site d’extraction d’uranium d’Imouraren, comme le révélait Jeune Afrique dans un article daté du 20 juin dernier, sa bataille contre la junte nigérienne dirigée par le général Abdourahamane Tiani ne semble pas près de se terminer.
À la mi-juin, cette crise s’est déportée jusqu’à Paris, lors du conseil
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