Face à la frustration des familles marocaines privées de mouton pendant l’Aïd, le Parlement cherche des solutions

Entre subventions de l’importation de moutons et flambée des prix observée lors de l’Aïd, les députés ont demandé des comptes au gouvernement. Les mesures « exceptionnelles » évoquées risquent fort, dans les faits, de s’inscrire dans la durée.

Des acheteurs déambulent dans le marché de Lagfaf, près de Khouribga, au centre du Maroc, avant de célébrer la fête de l’Aïd el-Kebir (septembre 2016). © Abdeljalil Bounhar/AP/SIPA

Des acheteurs déambulent dans le marché de Lagfaf, près de Khouribga, au centre du Maroc, avant de célébrer la fête de l’Aïd el-Kebir (septembre 2016). © Abdeljalil Bounhar/AP/SIPA

Publié le 26 juin 2024 Lecture : 6 minutes.

Bien que ce ne soit pas, comme les autorités religieuses le rappellent régulièrement, une obligation, le sacrifice de l’Aïd reste un événement incontournable au Maroc. Et cette année, pour certaines familles, l’Aïd el-Kebir (« grande fête ») qui a eu lieu le 17 juin a laissé un goût amer, du fait de la hausse vertigineuse des prix du mouton.

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