Comment ArcelorMittal s’accroche à ses derniers bastions africains
Après avoir un temps annoncé réduire drastiquement la voilure sur le continent, le géant mondial de l’acier a finalement décidé du maintien de deux de ses usines. Mais les négociations avec les autorités se révèlent parfois âpres.
![Usine d’ArcelorMittal à Vanderbijlpark, au sud de Johannesburg, en Afrique du Sud, en novembre 2017. ArcelorMittal plant is seen in Vanderbijlpark, an industrial city south of Johannesburg, South Africa, November 21, 2017. Picture taken November 21, 2017.
© Siphiwe Sibeko/REUTERS](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4531x0.3122/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/03/jad20240703-eco-arcelor-mittal-af-du-sud.jpg)
Usine d’ArcelorMittal à Vanderbijlpark, au sud de Johannesburg, en Afrique du Sud, en novembre 2017. ArcelorMittal plant is seen in Vanderbijlpark, an industrial city south of Johannesburg, South Africa, November 21, 2017. Picture taken November 21, 2017. © Siphiwe Sibeko/REUTERS
Géant mondial sur tous les principaux marchés de l’acier, ArcelorMittal renonce à fermer sa division sud-africaine, auparavant menacée par un plan majeur de réduction de ses effectifs. Miné par un climat d’affaires compliqué dans un contexte de ralentissement économique local, le groupe travaille actuellement sur un plan de relance pour y rendre ses activités viables.
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