Pourquoi Fatou Bensouda, l’ex-procureure de la CPI, a choisi l’ombre à la lumière
C’est une enquête du Guardian qui a remis l’ancienne procureure de la Cour pénale internationale sur le devant de la scène, en révélant les pressions israéliennes dont elle a fait l’objet. Ces dernières expliquent en partie sa très grande discrétion aujourd’hui.
![Fatou Bensouda, à La Haye (Pays-Bas), le 14 juin 2021. © Peter Dejong/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5258x0.4956/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/05/jad20240705-ass-gambie-fatou-bensouda.jpg)
Fatou Bensouda, à La Haye (Pays-Bas), le 14 juin 2021. © Peter Dejong/AP/SIPA
L’ex-procureure de la Cour pénale internationale (CPI) se fait discrète depuis la fin de son mandat. Remplacée en juin 2021 par le Britannique Karim Khan, Fatou Bensouda était en fonction depuis juin 2012. Nommée par la suite au poste de haute-commissaire auprès du Royaume-Uni par le président gambien Adama Barrow, elle a débuté son mandat d’ambassadrice le 3 août 2022 et réside à Londres depuis
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