Pourquoi Scatec a claqué la porte du projet solaire de Tataouine en Tunisie
Près de cinq ans après avoir confié à l’énergéticien norvégien la construction d’une centrale solaire de 200 mégawatts, les autorités tunisiennes viennent de réattribuer le marché à un concurrent émirati. Plongée dans les coulisses de ce revirement.
![Installation photovoltaïque à à Metbassta, dans le gouvernorat de Kairouan en Tunisie. © AMEA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/09/jad20240709-eco-tunisie-projet-solar-energy.jpg)
Installation photovoltaïque à à Metbassta, dans le gouvernorat de Kairouan en Tunisie. © AMEA
Et de deux. Après le retrait du tandem franco-marocain Engie-Nareva du marché relatif à la construction de la centrale solaire de Gafsa, c’est au tour du contrat d’un projet solaire à Tataouine d’être réattribué par les autorités tunisiennes. Retenu en 2019 pour la construction de cette centrale photovoltaïque de 200 mégawatts (MW), l’énergéticien norvégien Scatec, a finalement a été remplacé en
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus – Économie
- RDC : des minerais de sang aux minerais de paix
- La question nationale au cœur de l’économie gabonaise
- Comment Ferdinand Ngoh Ngoh tente de faire limoger Adolphe Moudiki
- Fin de règne pour Adolphe Moudiki, intime de Paul Biya et patron de l’or noir camerounais
- Attaquée par JP Morgan, Afreximbank défend son statut de créancier privilégié