À Tunis, des cadres de la justice et de la police au cœur d’une enquête pour corruption
Lancée à l’initiative des renseignements militaires, l’enquête a débouché sur des arrestations, et relance l’hypothèse d’un système de corruption au sein des services judiciaires et policiers ayant bénéficié à plusieurs criminels.
![La ministre de la Justice tunisienne, Leïla Jaffel. © Wikimedia](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4457x0.4176/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/12/jad20240712-mmo-leila-jaffel.jpg)
La ministre de la Justice tunisienne, Leïla Jaffel. © Wikimedia
Étonnement, dans le quartier de Bab Bnet, à Tunis. Le 10 juillet 2024 au soir, des véhicules de la police militaire et de la garde nationale ont investi la rue pour s’arrêter non pas devant la Maison de l’avocat, où se réfugient parfois certains professionnels recherchés, mais quelques mètres plus bas, devant le ministère de la Justice.
Menée tambour battant, l’opération conjointe a conduit, après
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