À Tunis, des cadres de la justice et de la police au cœur d’une enquête pour corruption

Lancée à l’initiative des renseignements militaires, l’enquête a débouché sur des arrestations, et relance l’hypothèse d’un système de corruption au sein des services judiciaires et policiers ayant bénéficié à plusieurs criminels.

La ministre de la Justice tunisienne, Leïla Jaffel. © Wikimedia

La ministre de la Justice tunisienne, Leïla Jaffel. © Wikimedia

Publié le 12 juillet 2024 Lecture : 2 minutes.

Étonnement, dans le quartier de Bab Bnet, à Tunis. Le 10 juillet 2024 au soir, des véhicules de la police militaire et de la garde nationale ont investi la rue pour s’arrêter non pas devant la Maison de l’avocat, où se réfugient parfois certains professionnels recherchés, mais quelques mètres plus bas, devant le ministère de la Justice.

Menée tambour battant, l’opération conjointe a conduit, après

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

De g. à dr. : Le restaurateur Gilles Jacob Lellouche, la chanteuse et comédienne Habiba Msika, le caïd Nessim Samama et le défenseur des droits de l’homme Georges Adda. © Photos by KHALIL / AFP ; Wikimedia Commons ; DR ; Hichem

Ces Juifs tunisiens qui ont marqué l’histoire de leur pays

Migrants subsahariens dans un camp à Jebiniana (gouvernorat de Sfax), le 24 avril 2024. © Fethi Belaïd/AFP

Les droits de l’homme en Tunisie à l’agenda européen

Contenus partenaires