Concurrentes, les compagnies aériennes africaines sont-elles condamnées à se déchirer ?
Trop nombreux sur de trop petits marchés, les transporteurs du continent sont à la peine. Mais les appels à la consolidation et au développement de synergies ont également de la difficulté à être entendus.
![L’aéroport international Blaise-Diagne de Dakar. © M.Torres/iStock/Getty Images](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/23/jad20240723-eco-dossier-ciel-africain-compagnies-airsenegal.jpg)
L’aéroport international Blaise-Diagne de Dakar. © M.Torres/iStock/Getty Images
Le sujet de la coopération dans le secteur aérien en Afrique a un point commun avec celui de la Zlecaf : malgré les analyses et projections qui martèlent les bénéfices à en retirer et les déclarations de bonne volonté, quand il s’agit de mettre en œuvre, cela coince. « En Afrique, les participations croisées et les consolidations ne fonctionnent généralement pas », constate Abderrahmane Berthé,
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