Vera Songwe : « Les obligations souveraines africaines, c’est comme une Lamborghini sur une route cabossée »
Moins exposée depuis son départ de la Commission économique pour l’Afrique, la Camerounaise reste néanmoins engagée sur la mobilisation des ressources dont l’Afrique a besoin. Rencontre.
Depuis qu’elle a démissionné de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), Vera Songwe semble se faire discrète. Deux ans après avoir quitté ce poste prestigieux, elle n’a toujours pas expliqué son choix. Mais la Camerounaise n’a pas tourné le dos à la finance du développement pour autant. Celle qui a fait l’essentiel de sa carrière au sein des différentes entités de la Banque mondiale dirige
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan