Au Cameroun, les grandes écoles abandonnent-elles l’équilibre régional ?

À Yaoundé, les résultats du concours d’entrée à l’École militaire inter-armées (Emia) viennent enfin d’être publiés. Et avec eux ressurgissent nombre de critiques, selon lesquelles la politique d’équilibre régional ne serait pas respectée.

Défilé des élèves de l’École militaire inter-armées (Emia) lors de la fête nationale, à Yaoundé, le 20 mai 2023. © Chine Nouvelle / SIPA

Défilé des élèves de l’École militaire inter-armées (Emia) lors de la fête nationale, à Yaoundé, le 20 mai 2023. © Chine Nouvelle / SIPA

YVES-PLUMEY-BOBO_2024

Publié le 23 juillet 2024 Lecture : 2 minutes.

Après les prestigieuses École nationale d’administration et de magistrature (Enam) et École nationale supérieure de police de Yaoundé (ENSP), ou encore l’Institut des relations internationales du Cameroun (Iric), c’est au tour de l’École militaire inter-armées (Emia) de raviver le sempiternel débat autour de la politique d’équilibre régional.

Alors qu’après une année d’attente, les résultats du

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