Crise libyenne : quand le Maroc tente de relancer le dialogue
Un nouveau cycle de négociations entre les responsables libyens devrait avoir lieu au Maroc avant la fin juillet. Le royaume s’est illustré à plusieurs reprises par son implication dans la résolution de la crise, mais les différentes groupes qui se partagent le pouvoir dans le pays ne semblent pas pressées de s’entendre.
![Nasser Bourita, ministre marocain des affaires étrangères et de la coopération internationale, lors des négociations menées à Bouznika en 2020. © FADEL SENNA / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/17/jad20240717-mmo-maroc-libye-mediation.jpg)
Nasser Bourita, ministre marocain des affaires étrangères et de la coopération internationale, lors des négociations menées à Bouznika en 2020. © FADEL SENNA / AFP
Cela n’a pas été confirmé de façon officielle mais, selon de nombreuses sources, un nouveau sommet tripartite sur la Libye, censé réunir le président du Conseil présidentiel Mohamed Menfi, le président de la Chambre des représentants Aguila Saleh, et le président du Conseil d’État Mohamed Takala, devrait se tenir au Maroc avant la fin du mois de juillet. Certains médias marocains précisent que les
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