Les hommes de Paul Biya imposent la tolérance zéro pour les « fauteurs de troubles »
Un arrêté pris par le préfet de Mfoundi, au Cameroun, interdisant de séjour dans son département toute personne « outrageant dangereusement les institutions » a suscité de vives réactions. Dans les rangs de l’opposition, on dénonce « une dérive autoritaire inadmissible ».
À un an de la présidentielle de 2025, le gouvernement de Paul Biya se prépare à tous les scénarios. À la suite de réunions tenues entre plusieurs stratèges du président à Etoudi, en mars dernier, au sujet de l’opportunité d’organiser les prochaines élections municipales et législatives en 2026, deux rencontres ont eu lieu début juillet.
D’abord, une conférence de presse, le 3 juillet, durant
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Politique
- À Casablanca, la Joutia de Derb Ghallef en voie de réhabilitation
- Mali : ce que l’on sait de la disparition de Daouda Konaté
- Paul Biya à Genève : ces privilégiés qui ont eu accès au chef
- Au Niger, Al-Qaïda affirme avoir frappé aux portes de Niamey
- Présidentielle en Côte d’Ivoire : la compagne de Tidjane Thiam sort de l’ombre