Thales, Vinci, Sanofi… des champions français très courtisés en Libye, mais les contrats ne sont pas signés
Les autorités de l’est libyen veulent attirer les grandes entreprises de l’Hexagone pour reconstruire la région. Paris pousse en ce sens pour juguler sa perte d’influence économique. Les groupes, eux, se montrent plus prudents.
![Un pont détruit par les inondations du 10 septembre à Derna, le 19 septembre 2023. © Mahmud TURKIA / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/23/jad20240723-eco-thales-vinci-cyrenaique-libye.jpg)
Un pont détruit par les inondations du 10 septembre à Derna, le 19 septembre 2023. © Mahmud TURKIA / AFP
« Ce pont en fer, là, à droite, on va demander à Matière de le rénover, ainsi qu’un autre pont. À Derna aussi, ils auront un pont en fer à construire. Les Français sont excellents pour utiliser le fer, regardez la tour Eiffel ! » Ageila Ellabar est fier de montrer les innombrables chantiers en cours à Benghazi, la capitale de la Cyrénaïque (région dans l’est de la Libye), et à Derna, ravagée à
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