Pourquoi le chinois CNPC lève le pied au Niger
Pris en étau entre les attaques terroristes contre ses installations et la fermeture de son pipeline par le Bénin, puis le Niger, le groupe chinois ferme son site « jusqu’à ce que la situation s’améliore ».
![Des ouvriers nigériens et chinois sur le chantier d’un oléoduc dans la région de Gaya, au Niger, le 10 octobre 2022. © BOUREIMA HAMA/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/22/jad20240722-eco-petrole-niger-cnpc.jpg)
Des ouvriers nigériens et chinois sur le chantier d’un oléoduc dans la région de Gaya, au Niger, le 10 octobre 2022. © BOUREIMA HAMA/AFP
C’est la panique chez les opérateurs chinois au Niger. Dans une note à destination de ses salariés, le 21 juillet, la China National Petroleum Corporation (CNPC), utilisatrice de l’oléoduc pétrolier entre le Niger et le Bénin, indique suspendre ses activités sur son site pétrolier d’Agadem. L’installation, située à l’est du pays, est la cible d’attaques terroristes depuis des semaines.
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