Le conflit au Soudan alimenté par des armes du monde entier
Amnesty International appelle les Nations unies à étendre l’embargo sur les armes, imposé au Darfour depuis 2004, à l’ensemble du territoire. « Ce conflit serait beaucoup moins grave s’il n’y avait pas eu de soutien extérieur aux parties », affirme le rapport de l’ONG publié le 25 juillet.
![Image tirée d’une vidéo diffusée par les forces paramilitaires soudanaises de soutien rapide (FSR) le 23 avril 2023. © Rapid Support Forces (RSF) / AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/25/jad20240725-ass-soudan-commerce-international-armes.jpg)
Image tirée d’une vidéo diffusée par les forces paramilitaires soudanaises de soutien rapide (FSR) le 23 avril 2023. © Rapid Support Forces (RSF) / AFP
Chine, Russie, Serbie, Turquie, Émirats arabes unis (EAU) et Yémen. Tous ces pays se retrouvent cités dans le nouveau rapport d’Amnesty International qui répertorie les fournisseurs d’armes aux factions belligérantes du Soudan, affirmant que ces flux alimentent des « souffrances civiles incessantes ». Le conflit qui ravage le pays depuis avril 2023 oppose les Forces armées soudanaises (FAS) du
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