Assimi Goïta peut-il encore réconcilier les Maliens ?

De nouvelles discussions avec les « forces vives » ont été organisées du 20 au 25 juillet à Bamako, alors que plusieurs leaders de partis politiques sont incarcérés pour « atteinte à l’ordre public » et « opposition à l’exercice de l’autorité légitime ». La question de leur libération s’est invitée dans les échanges.

Assimi Goïta, le 24 juillet 2024. © Présidence du Mali

Assimi Goïta, le 24 juillet 2024. © Présidence du Mali

Publié le 26 juillet 2024 Lecture : 2 minutes.

Quelques mois après le dialogue intermalien qui a, entre autres, abouti à une nouvelle prolongation de la transition de « deux à cinq ans », les « forces vives » ont été conviées à de nouveaux échanges.

Du 20 au 25 juillet, la commission de rédaction de l’avant-projet de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, présidée par l’ancien Premier ministre Ousmane Issoufi Maïga, a multiplié

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