Présidentielle en Algérie : cinq questions sur une élection jouée d’avance

DÉCRYPTAGE – Le scrutin présidentiel du 7 septembre 2024 va se dérouler dans un contexte social, politique et même climatique inédit… Et pourtant sans suspense aucun quant à son résultat.

Abdelmadjid Tebboune au siège de l’Anie, où il a déposé, le 25 juillet, son dossier de déclaration de candidature à l’élection présidentielle algérienne du 7 septembre 2024. © PPA AGENCY/SIPA

Abdelmadjid Tebboune au siège de l’Anie, où il a déposé, le 25 juillet, son dossier de déclaration de candidature à l’élection présidentielle algérienne du 7 septembre 2024. © PPA AGENCY/SIPA

FARID-ALILAT_2024

Publié le 30 juillet 2024 Lecture : 6 minutes.

En Algérie, les électeurs sont appelés à élire leur futur président le 7 septembre prochain. Alors que ce scrutin devait se tenir en décembre 2024, le chef de l’État sortant, Abdelmadjid Tebboune, a décidé de l’anticiper de deux mois et demi, accréditant la thèse que l’élection était déjà jouée d’avance, au profit, justement, du président Tebboune. Pourquoi celui-ci est-il déjà assuré d’être réélu

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