![La police surveille les plages de Sousse, en Tunisie. © Montage JA; Chris McGrath / GETTY IMAGES/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1920,height=1080,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/08/06/series_tourisme_ep3-securite.jpg)
Dans le tourisme, les États africains partagés entre les rôles d’acteur ou d’arbitre
![Vue sur le temple d’Abou Simbel depuis le bateau de croisière La Flâneuse du Nil, sur le lac Nasser. © Montage JA; Milan SZYPURA/HAYTHAM-REA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop,gravity=0.2244x0.3820/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/08/06/series_tourisme_intro.jpg)
Quel tourisme pour l’Afrique ?
Le secteur reste peu pensé et débattu à l’échelle panafricaine. Résultat, en 2023, le continent a attiré 66 millions de touristes, selon l’Organisation mondiale du tourisme, tandis que l’Espagne en a accueilli à elle seule 85 millions. Les disparités de richesses naturelles, d’infrastructures, les choix politiques, mais aussi les enjeux sécuritaires influencent fortement le développement de l’activité. Tourisme balnéaire ou safari d’aventure ? Offre de masse ou seulement réservée à quelques « happy few » ? Impulsion étatique ou initiative privée ? Dans cette série, Jeune Afrique explore les choix stratégiques opérés par différents États africains pour attirer et satisfaire toujours plus de visiteurs.
QUEL TOURISME POUR L’AFRIQUE ? (3/3) – Le Maroc, le Bénin, le Rwanda… Quelques uns des États cités dans cette série ont pris le sujet du tourisme à bras-le-corps, ce qui leur permet notamment d’afficher une stratégie claire.
Ce mode de fonctionnement représente un cadre attractif pour les acteurs privés, juge Sarah Agbantou, fondatrice d’Africa tourism Lab, un centre de formation des
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![Vue sur le temple d’Abou Simbel depuis le bateau de croisière La Flâneuse du Nil, sur le lac Nasser. © Montage JA; Milan SZYPURA/HAYTHAM-REA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop,gravity=0.2244x0.3820/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/08/06/series_tourisme_intro.jpg)
Quel tourisme pour l’Afrique ?
Le secteur reste peu pensé et débattu à l’échelle panafricaine. Résultat, en 2023, le continent a attiré 66 millions de touristes, selon l’Organisation mondiale du tourisme, tandis que l’Espagne en a accueilli à elle seule 85 millions. Les disparités de richesses naturelles, d’infrastructures, les choix politiques, mais aussi les enjeux sécuritaires influencent fortement le développement de l’activité. Tourisme balnéaire ou safari d’aventure ? Offre de masse ou seulement réservée à quelques « happy few » ? Impulsion étatique ou initiative privée ? Dans cette série, Jeune Afrique explore les choix stratégiques opérés par différents États africains pour attirer et satisfaire toujours plus de visiteurs.
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