Présidentielle en Algérie : Mohamed Charfi, un gardien des urnes dans la tourmente numérique

À un mois de l’élection présidentielle, le patron de l’Autorité nationale indépendante des élections est sous le feu des critiques. Après la défaillance d’une plateforme informatique de l’institution en plein traitement des dossiers des candidatures, l’opposition doute de la bonne gestion des préparatifs du processus électoral.

Mohamed Charfi, président de l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie), lors d’une conférence de presse à Alger, le 12 juin 2021 © Mousaab Rouibi / Anadolu Agency via AFP

Mohamed Charfi, président de l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie), lors d’une conférence de presse à Alger, le 12 juin 2021 © Mousaab Rouibi / Anadolu Agency via AFP

Publié le 2 août 2024 Lecture : 4 minutes.

Son visage marqué par des années passées à arpenter les cours, les tribunaux et les coulisses du pouvoir reflète une inébranlable détermination. Pourtant, même les hommes les plus stoïques peuvent parfois vaciller.

Président de l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie) depuis sa création, en septembre 2019, Mohamed Charfi, 77 ans, se trouve au cœur d’une polémique née de la

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