Un an après le putsch au Niger, la famille Bazoum entre espoir et déceptions
Un an après le coup d’État qui a porté Abdourahamane Tiani au pouvoir, l’espoir d’une libération du président déchu s’est étiolé chez les proches de Mohamed Bazoum.
![Mohamed Bazoum, dans la résidence d’Etat avec sa fille Zazia, le 07/0/2021. © Vincent Fournier pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4640x0.4600/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/08/02/jad20240802-ass-zazia-bazoum.jpg)
Mohamed Bazoum, dans la résidence d’Etat avec sa fille Zazia, le 07/0/2021. © Vincent Fournier pour JA
La ligne a été coupée le 18 octobre 2023. Depuis ce jour, les cinq enfants de Mohamed Bazoum n’ont plus de contact direct avec leur père. Son téléphone a été confisqué par les putschistes, après avoir fait l’objet d’accusations de tentative d’évasion. Sous la menace de poursuites judiciaires, le président déchu et son épouse sont toujours séquestrés dans l’un des appartements de la résidence
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